Les coques de l'époque étaient recouvertes de plaques de cuivre, non pas par esthétique mais pour les protéger des attaques par les tarets.

Les tarets sont des coquillages qui se collent à la coque de bois et la rongent, provocant parfois des fuites d'eau.

Tout part de la récupération de feuilles de cuivre.

De là, nous traçons puis découpons des bandes dans lesquelles nous sortirons des petites plaques.

Francis au traçage des plaques.

Sylvie ne relève pas le dos, on entend juste le bruit de la perceuse.

Mini perceuse montée avec un foret de 0.8 mm.

Après ce travail, le plus dur est à venir, il va falloir poser chaque plaque sur la coque, et y poser un petit clou par trou.

Ben oui! quand on aime, on ne compte pas !!!

N'oubliez pas que la coque est ronde et galbée, donc un ajustement des plaques les unes par rapport aux autres sera nécessaire.

Toutes ne seront pas rectangulaires, ce serait trop facile !!!

Certaines devront être taillées en biseau et venir mourir en pointe suivant que l'on se rapprochera de la proue ou du gouvernail.

Ne vous inquiétez pas, on vous fera partager ces moments difficiles quand le moment sera venu !!

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